dépensé-je trop d'argent ? Les conditions imposées sont mauvaises. Je n'achète ni objet ni dessin ; les livres demandés me sont donnéspar les éditeurs.
Dans tout cela, il n'y a ni aigreur ni attendrissement. Je n'attends rien d'une existence luxueuse, ornée de caprices alors que je l'avoue bien des choses superflues me paraissent capitales. Je dis simplement qu'il y a sottise et j'enrage à l'idée qu'une menace d'interruption, de liquidation, hypothèque un effort collectif dont le crédit pourrait nous être offert à vie.
Me croyez-vous ?
Fidèlement.
Georges.