Le 25 [1950]
Cher Jean
Quel naufrage qu'un séjour solitaire à la campagne. À la dérive de toutes les détentes nerveuses, les fatigues remontent les premières à la surface du corps alors que l'esprit vérifie en profondeur les projets en cours, les livres à ne pas écrire sans quelque vertige, la vie tumultueuse répétée chaque hiver qui suspend l'oisiveté, les passions à voir, mes vrais plaisirs.
Toutefois, j'aime le métier que j'exerce scrupuleusement, mais,