Le 3 [1954]De la main de Paulhan, encre violette : M. Georges Lambrichs chez M. Arland. Brinville par Pontigny. S. a M.
Cher Jean,
C'est vrai que l'air de Brinville est bon, et la maison est fraîche et dispose au travail. J'ai terminé le premier récit des Fines Attaches, je voudrais bien vous le lire. J'ai lu, de Perros, les Notes (pour une préface, il devrait maintenir ce premier titre) qui sont souvent remarquables et parfois émouvantes.
Si vous quittiez Paris, dans les prochains jours, j'aimerais [?] savoir où l'on peut vous écrire.