Paris le 18 juin 1931
Mon cher Paulhan
Je vous retourne tout de suite ces feuillets.
Je trouve qu'on peut très bien laisser ce que vous avez souligné. Je suis assez parti à laisser les choses telles qu'elles viennent, quitte à quelque petite bizarrerie.
Si je n'avais craint de vous déranger, j'aurais bien ajouté une page, non pour ce que vous pensez croire, mais pour finir l'ensemble.
Amitiés à tous les deux,
P.Léautaud.