Paris, le jeudi 3 octobre 1935

Mon cher Paulhan

Si vous voulez un morceau du Journal Gourmont, dites-le moi. C'est tout prêt. Je n'ai qu'à collationner.

Une seule [prière?] : il faudrait le faire passer sans retard.

Cordialités à tous les deux

P.Léautaud