Paris, le lundi 21 octobre 1935
Mon cher Paulhan
Je vous fais toutes mes excuses. Tout un fragment [du] journal de Gourmont m'est apparu sans agrément, – surprise pas drôle ! – long, assommant au possible. J'ai fait pas mal de coupures. Ayez la gentillesse de m'avoir de nouvelles épreuves.
Amitiés
P. Léautaud
Vous serez bien aimable de joindre ces épreuves corrigées aux nouvelles épreuves.
Ce qui ci dessus étant écrit quand je n'avais [pas] votre lettre au Mercure. Vous avez parfaitement raison. J'ai relu votre lettre. Il n'y avait rien d'affirmatif pour le numéro du 1
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Novembre. Je me suis tout à fait trompé.