PARIS, LE 4 Octobre 1958
[Petitj?]
Jeunesse
DaimCes trois mots de la main de Paulhan ?
Monsieur Jean PAULHAN
Mon cher Jean,
Vous m'avez parlé des théories des psychanalystes suisses fondées sur la relation du malade avec le sentiment de l'absolu. Ont-elles fait l'objet de bouquins ou d'articles ?
Bien amicalement.
André MALRAUX