21 juillet 27.
Cher ami. Laissez d'abord que je me réjouisse avec la N.R.F. de cette merveilleuse aubaine, et que je vous félicite d'en avoir été, si je puis dire, le canal !
Vous avez raison de penser que je suis maintenant trop fixé dans l'Orne pour pouvoir songer à profiter jamais de votre merveilleux asile. Je vous remercie néanmoins de m'avoir prévenu et de m'avoir ainsi prouvé que vous ne me teniez pas pour indésirable dans votre combinaison ; c'est une preuve d'amitié dont je sens tout le prix. Il reste cependant que, sans être personnellement intéressé