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6 novembre 1927 On sait ce que me vaut une approbation de vous, mon cher Paulhan. Je m'avoue très flatté de vos éloges. Quelle que soit maintenant l'attitude des lecteurs ou des spectateurs éventuels, je n'oublierai pas que j'ai eu votre « satisfecit » ; - et cela me donne du cran pour affronter les gens. Aussi je commencerai pas vous. Non pas par l'ami Jean Paulhan, mais par Paulhan, le rédacteur en chef de la N.R.F., - lequel, pour aujourd'hui, je vais distinguer un instant de l'autre. Si vous pensez qu'une pièce comme La Gonfle puisse être publiée dans une revue et puisse intéresser vos abonnés, je suis prêt à vous la donner ; et je serais même très content qu'elle paraisse à la N.R.F. - Mais attendez ; voici où commence le langage nouveau : (Peut-être me forcé-je un peu pour l'employer ? Toutefois j'ai bien réfléchi, je ne cède pas à un accès de bile ni à un mouvement inconsidéré) : La Gonfle a une valeur, comme ils disent « marchande » ; et donc

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