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toujours combattu. Mais peut-être cela n'a-t-il pas tant de fâcheuse importance que tu crois. Cela m'a valu quantités de lettres, notamment de lecteurs inconnus, qui se réjouisses de voir ainsi que l'œuvre continue, et que je vis toujours. C'est tout ce que je désirais prouver pas ces trois publications. Je sais ce que je ferai à l'avenir. Quand je pense – avec stupeur ) qu'on m'offre 15.000 frs, payables aujourd'hui, si je consens à donner l'Appareillage en revue (nous voilà loin des 20 francs par page qu'octroie notre brave petite N.R.F...!) avant de publier le volume, je me demande si l'inconvénient indéniable de ces publications en revue n'est pas malgré tout compensé par le gain qu'elles procurent. C'est une question de poids et mesures. Si le Cahier gris et le Pénitencier avaient paru en revue et m'avaient rapporté 30.000 francs d'emblée, en plus, qui s'en souviendrait aujourd'hui ? Et quel beau voyage on peut faire avec 30.000 balles... (Demande à Christiane ce qu'elle en pense!) Nous reparlerons de tout cela. Je viendrai à Paris avant la fin décembre pour y passer trois mois. Et j'apporterai enfin La Mort du Père qui est un livre...illisible, de 280 pages. Bien affectueusement merci pour ton offre des futures mensualités ! RmG

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