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BELLÊME TEL. 28 ORNE 19 mars 1931 Bien cher ami, J'apprends votre deuil avec une emotion qui me fait mieux encore sentir que je vous suis très attaché. Je sais combien cruelles, ces séparations ! Quelque chose d'intime, de nécessaire, se décroche, quand on perd ses parents. N'être plus « le petit » de quelqu'un… Le rideau tombe sur un passé mort. Les mots sont de pauvres messagers. Mais si ma sympathie vous était de quelque douceur dans votre peine, mon cher ami, dîtes-vous bien qu'elle est profonde, qu'elle vient du cœur et cherche le vôtre, avec une grande compassion ! R.M.G.

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