Nice. 25 oct. 34
Cher ami. J'ai failli répondre « oui » rien que pour satisfaire la curiosité –, qui depuis votre mot, me tient éveillée jour et nuit, – de savoir qui peut-être cet « on » mystérieux.
Mais ce ne serait pas très loyal. Car nous n'en sommes pas encore à cette terrible résolution, à ce renoncement si grave. Si vous connaissiez notre « Tertre », vous comprendriez. C'est une demeure incomparable ; à la lettre, je n'en connais pas l'équivalent.
Soyez gentil, donnez-moi des détails sur cet « on ». D'où cela vient-il ? Quelqu'un qui connaît le Tertre ? Je vous en prie, ne me laissez pas sur le gril !
« A vous lire », comme on dit, et bien affectueusement vôtre,
Roger Martin du Gard