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Nice. 2 sept. 1936 Gentil Paulhan ! Je suis bien touché par votre délicate attention. J'avais pour Dabit une affection très particulière, et qu'il me rendait tout à fait bien. Nous nous sommes revus ici, en mai. Je garde de cette journée de parfait accord, un souvenir très doux. Je suis obsédé, moi aussi, par cette crainte, que vous analysez si bien, de la détresse qui a du le saisir, dans cet hôpital étranger (il avait l'horreur populaire de l'hôpital), si loin de la place des Lilas, de sa petite patrie, de sa mère dont il

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