10, RUE DU DRAGON
PARIS (VIEME)
Mon cher Paulhan,
(Ceci est peut-être un double. J'ai dû perdre l'enveloppe à vous destinée, en faisant des courses ; car je ne l'ai plus, et suis sûr de ne pas l'avoir mise à la poste. Mais, comme elle était timbrée, une bonne âme peut-être l'aura recueillie et expédiée? )
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Je vous remercie de votre réponse. C'est tout ce que je souhaitais savoir. Aucun de nous ne vous a autorisé à publier ce fragment de « Et nunc... » ; et vous n'avez même pas jugé bon de consulter l'un ou l'autre d'entre nous sur l' « heureux » choix que vous aviez fait, ni sur l'opportunité de mettre précisément ce texte-là, bien en vedette, pour couronner le recueil d'hommages. Vous êtes le seul responsable, par conséquent, de cette choquante bévue... Dont acte. (Mais,