si vous ne sentez pas à quel point ces deux pages sont déplacées dans ce volume, inutile de prolonger ce dialogue de sourds.)
Quant au droit de libre reproduction, j'ignore si la loi vous permettait de vous passer du consentement de l'auteur (lequel, dans le cas présent, est représenté par le groupe des exécuteurs testamentaires.) Je sais seulement que, chaque fois qu'un extrait de mes livres a dû figurer dans quelque anthologie, en France ou ailleurs, on m'a demandé de donner, par écrit, mon autorisation ; et personne n'a jamais passé outre à un refus de ma part. Est-ce par crainte de la Justice ? Ou simplement par un sentiment d'élémentaire correction ?
Je reste amicalement vôtre,
Roger Martin du Gard