Nice 26 mars 57.
Combien reconnaissant, cher ami, que vous m'ayez exempté de ces affreuses carottes « râpées » Le malheur, c'est que j'ai essayé du « jus », et que je n'ai pas encore assez conscience de mes péchés pour m'imposer chaque jour une si nauséeuse pénitence ! Par chance j'ai fait cet essai avant de me faire envoyer un Turmix, et je vais éviter cette dépense fastueuse ! (Mon essai a été possible grâce à la complaisance d'un restaurateur voisin, qui affiche, pour allécher le client, que ses menus comprennent, sans augmentation de prix, un verre de carottes pressées. J'ai pu m'en procurer plusieurs jours de suite : pas assez, pour guérit ; mais assez pour avoir atteint les bornes de mon courage...)
Affectueuse accolade, sous le signe de la carotte ! Et merci, bon Samaritain.
R.M.G
Si je vous tenais là, je vous infligerais