18 février 1927
Cher Ami,
Il n’y a qu’un âââ qu’on peut supprimer, c’est à « tout ça ... », au bout de la dissertation politique. Et, en effet, ce serait mieux ainsi. Ailleurs, c’est automatique, chaque fois que l’idée de l’effort se présente. Pour l’histoire un peu plus longue, il me semble qu’elle existe à la fin du morceau, justement, avant de sombrer dans le plus grand bâillement et dans le sommeil.
Ce Bâilleur est, d’ailleurs, aussi fabriqué qu’un sonnet ou qu’un rondeau. À la réflexion, je vois qu’il se rattache au genre dit « monologue comique », je l’imagine très bien dit par feu Coquelin Cadet ou par Polin,