Mais Sylvia a eu ce matin la visite d’un libraire : le directeur du Commerce des Idées, que l’enthousiasme avait mis tout en ébullition ; il savait déjà des passages par cœur ; il a acheté un ex. d’Ulysse, et il ne sait pas l’anglais.
À bientôt, j’espère, de vos bonnes nouvelles. Et d’affectueuses pensées pour vous deux.
Adrienne