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21 février 1936 Chère Germaine, Merci de votre lettre et de celle de Paulhan. Non, ce n’est pas vous la coupable, c’est Paulhan ; cette idée que j’avais promis une Marie Dubas m’avait beaucoup contrariée. Il y a peu de choses, à mes yeux, aussi graves que de ne pas tenir ses promesses. Maintenant, pour faire plaisir à Paulhan, je veux bien vous dire mes griefs d’auteur. - 1°. Mon travail de la N.R.F est un peu trop mis en cave. Vous n’avez même pas mentionné mon nom, dans vos publicités de fin d’année, parmi ceux des chroniqueurs de la revue. Il me semble

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