11 mars 1936
Chère Germaine,
Pardonnez-moi de ne pas vous avoir écrit plus tôt. J'ai travaillé quatre jours sur mon Ignace ; j’ai cru que je n’en sortirais jamais. Je m’étais embarquée dans un Sébasto que j’ai laissé en plan ; je pensais, d’abord, faire, sous le titre Ignace, un petit Sébasto à ma manière, mais il m’aurait fallu quinze jours.
J'ai été au châtelet. Très bon spectacle. Je vous ferai un Bach pour le mois prochain.