Je ne lui poserai pas de question. Les Fleurs de Tarbes répondent très bien, en effet, à toutes les questions possibles, bien que d’une manière un peu trop hermétique. Je crois qu’il aurait intérêt à faire ressortir plus bonnement que son jugement se base sur une certaine exigence de génialité, et il n’y a plus, alors, qu’à définir le génie, ce qui est l’enfance de l’art.
Ni Sollier ni Monnier ne figureront autrement qu’en assistant.
Je crois ça peut faire une séance « étourdissante ».
Paulhan a fait énormément de conquêtes lors de sa lecture. D'une façon générale, on lui a reconnu un sex-appeal n°1 ; on l’a compris.
Bien affectueusement à vous deux,
Adrienne.