voir arrangée au mieux, pour tous. Oui, quelques heures de bonne causerie auraient été précieuses pour nous, mais quand ? Irez-vous samedi au C. I. [?] ? Jean voudrait m'y emmener et j'en serais heureuse – surtout si je devais vous y rencontrer ! — mais je crains fort que le violent mal de gorge dont je souffre en ce moment, ne m'en empêche.

De toute façon, à bientôt.

Nous vous envoyons à tous deuxJean et Germaine Paulhan s'adressent à Benjamin Crémieux et Marie-Anne Comnène. de grandes amitiés.

Germaine