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Ah, combien j’ai regretté souvent de n’avoir pas souscrire d’emblée à l’invite si généreuse de Marcel Arland ! (« Pays », « Paysage »). De toutes les fautes que j’aurai commises dans ma vie, c’est à coup sûr la plus lourde, et je la paie aujourd’hui atrocement cher. Mais voilà : que devenait l’oeuvre à faire dans ces conditions ? Q'on le veuille ou non , la chronique théâtrale est un métier qui vous tient fort sujet. Je l’avoue, j’ai manqué de crête. Pour m’en tenir à l’heure présente, j’ai commencé de recopier l’un des manuscrits en question. Je présume qu’il sera fin prêt à la fin du mois prochain. (Cela s’intitule : « Fanfare pour conjurer la Peste ») Après quoi viendront (assez vite) « Don Miguel de Toro » et... Mais te je parlerai de tout cela dans quelque autre lettre... Aujourd’hui, c’est vrai, je suis tellement déchiré que je puis à peine m’énoncer. Adieu, cher Jean. Veuillez me rappeler

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