[1954] Ce Mardi soir Cher Jean

Pardonne-moi : 'est absurde ce que je t’ai dit là. Comment pourrais-je avoir des choses terribles pour toi ? Décidément mon mal (poussée d’osté = myélite) ce mal m’a quelque peu détraqué la cervelle.

Allons, n’y pense plus, je te prie.

Et crois que j’essayerai de tenir mes promesses

Je t’embrasse

Roland

Je savais que l’état de Germaine empirait. Chaque fois que je voyais Perros, il m’en parlait. Faute de pouvoir t’aider, j’ai préféré de me taire.