vous assure qu'en ce qui concerne la littérature, il n'y a pas tant de personnes auxquelles j'ai envie de demander un avis.
Cher Paulhan, vous seriez gentil vraiment de m'envoyer un mot pour me dire que lors de mon arrivé à Paris – fin février – nous pourrons nous rencontrer pour mettre cela au point, cette mise au point n'étant somme toute que mon acquiescement à tout ce que vous voudrez bien me dire.
Là-dessus, cher ami, à bientôt, n'est-ce pas, merci, et bonnes amitiés
G. Ribemont-Dessaignes
P.S. Vous savez sans doute ce qu'il est advenu de mon roman, dans l'honorable maison Gallimard ! Cela m'a un instant été désagréable – mais quoi, nous vivons dans un drôle de temps !