d'abord, et aussi pour la revue « Critique » à qui j'avais promis encore plus formellement une étude sur (c'est-à-dire contre) l'allégorie. C'a été deux mois de perdus. Il faut bien me résoudre à renoncer – provisoirement, en tout cas- car les choses n'ont fait que s'aggraver de jour en jour, alors que d'habitude l'acharnement vient à bout de ma répulsion naturelle à constituer des phrases.
Je regrette d'autant plus cette impossibilité où je me trouve de travailler pour vous en ce moment que j'avais demandé à Marcel Arland – et obtenu – de tenir une sorte de chronique, plus ou moins régulière, où j'aurais essayé d'analyser quelques-unes des formes (et des éléments) romanesques, caractéristiques de l'époque.
Puisque je suis incapable de confectionner la plus simple note, il me faut aussi remettre ce projet à plus tard
De tout cela je ne vois qu'une explication. Lorsque j'ai terminé le Voyeur, il y a huit mois, j'avais des idées précises – grossières peut-être, mais d'autant plus précises – sur ce que devaient être la littérature en général et la mienne en particulier. Mes opinions sur cette dernière (la