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Samedi soir [1956] Cher, très cher, Jean Paulhan C'est, une fois de plus, une reconnaissance considérable que je vous dois. Et je ne sais comment vous l'exprimer. Tout s'est donc passé à merveille, hier, à la Caisse Centrale de Réassurance. Directeur et adjoints ont été charmants. Et j'ai la promesse quasi formelle d'un appartement splendide ! Je passerai sûrement à la N.R.F. ce mercredi (ou en tout cas le suivant, car j'ai, pour celui-ci, un empêchement prévu de longue date, qui me retiendra peut-être trop tard) et je vous donnerai tous les détails de l'affaire; Mais je ne veux pas attendre un jour de plus pour vous remercier, puisque c'est à vous que je dois cette chance- inespérée vraiment. Une seule ombre : ce n'est que dans 18 mois (ou 2 ans...) que les locaux seront habitables. C'est aussi, me dit-on, parce que la date est un peu lointaine que la chose a pu se faire. Alors je ne m'en plains pas.

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