je ne conçois pas la chose autrement que comme un travail d'équipe – au moins un an de recherches et de travaux préliminaires. Nous enregistrerions, pour commencer, après avoir tracé les grandes lignes, des éléments qui seraient ensuite ordonnés dans le cadre de chaque émission.
Je vous revois toujours avec une émotion qui me surprend. La lecture du cahier de Joë Bousquet m'a profondément touché ; plus parce qu'elle révèle sur Jean Paulhan que sur Bousquet.
Je tiens beaucoup au projet NRF.
A demain, cher Jean Paulhan, et croyez à mon amitié, à mon affection – et à quelque chose d'autre, que le mot de révérence traduit imparfaitement.
Jean Amrouche