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Paris vendredi 1952 Cher ami J'ai été au plus pressé. J'ai mis un second télégramme à PlastirasNikolaos Plastiras (1881-1953) est le chef du gouvernement grec. à Athènes ; le mien était parti mardi : [Acceptez ?] ma protestation et mes vœux pour la grâce de BeloyannisNikos Beloyannis (1915-1952), membre du Comité central du Parti communiste grec (KKE) avait été condamné une première fois en octobre 1951. A la suite de protestations, Plastiras déclara que la sentence ne serait pas exécutée. Un second procès – pour contourner la décision de Plastiras – se déroula le 15 février 1952. Le 1er mars 1952, Nikos Beloyannis est condamné à mort et exécuté le 30 mars 1952, ainsi que quatre autres personnes, malgré les appels à la clémence venus du monde entier. et de ses camarades. Jean Paulhan Pardonnez ce style télégraphique qui n'était pas votre style et j'ai écrit à L'huma[L'Humanité ?] ceci : veuillez ajouter à vos protestations en faveur de B[eloyannis] celle de Jean Paulhan qui vient de signer mon second télégramme à Plastiras. J'espère n'avoir pas agi maladroitement mais je suis sûre que votre nom fera pencher

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