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Ce Blanchot est étonnantDans le numéro de la NNRF de décembre 1953, Maurice Blanchot donne une chronique intitulée « L'œuvre et la communication » (pp.1064-1071) et une note sur le livre de Dyonis Mascolo, Le Communisme (Gallimard). . Froid et compassé le P[aul] Morand. Vraiment ce dialogue [pour ?] en arriver au plus spécieux des monologues ! Savoureuse petite note sur Pirandello et combien juste ! Cher ami, j'espère que vous allez toujours bien. J'ai eu ces jours derniers un grand chagrin. Ma sœur aînée dont vous aviez un jour aimé et confisqué la lettre est morte à Cargèse. Elle n'était pas jeune puisqu'elle avait dix-huit ans de plus que moiMAC est née en 1887., mais je l'avais trouvée cet été si vaillante, si lucide et si vivante que je ne puis croire à sa mort. Me voici maintenant seule survivante d'une nombreuse et tendre famille de plus en plus irremplaçable ! Recevez toute mon amitié fidèle. Marie-Anne

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